Leo Fitzgerald Venue en ville : 17/03/2017 Posts : 212 Celeb + © : douglas booth, iron. Points : 352
| ce message a été posté le Lun 27 Mar - 21:23 |
| Famille Fitzgerald BLOOD IS THICKER THAN WATER Bien plus qu'une famille, les Fitzgerald ont l'indécente arrogance de se considérer comme une dynastie et cela depuis déjà des générations. En effet, dans l'imposant manoir du patriarche (Henry, le grand-père, ancien maire et fringant retraité) est mis en lumière l'acte d'immigration de John Fitzgerald, irlandais de son état, premier de sa famille à poser un pied en Amérique pour participer au fondations de la colonie de Plymouth, en 1620. C'est aux balbutiements de l'automobile et à la clairvoyance d'un illustre ancêtre que les Fitzgerald doivent les prémices de leur fortune, aujourd'hui capitalisée grâce à un empire automobile revendu aux actionnaires bien longtemps avant les crises du secteur. Installés à Whitewall depuis la fondation de la ville, les Fitzgerald font partie de ces founding families insérées dans la vie locale et les traditions, avec un maire à chaque génération et un nombre de terrains impressionnant : 18% de la ville est bâtie sur un sol meuble qui leur appartient, offrant des rentes suffisantes et un patrimoine immobilier conséquent. D'ailleurs leur opulence et leurs ambitions politiques ont toujours poussé les Fitzgerald à se considérer comme des Kennedy locaux, en mieux, car de tradition républicaine et sans décès absurdes. Au sein de cet illustre clan, il est d'ailleurs primordial de réaliser l'importance du sang : les liens y sont plus solides qu'au sein d'une mafia italienne et chaque membre se doit de travailler aux intérêts de toute la famille, au risque de payer au centuple le moindre manquement. Aussi, à chaque génération les Fitzgerald se répandent dans les arcanes du pouvoir, de la finance, du droit et de la politique pour influencer, s'enrichir, se préserver. Néanmoins, malgré l'autorité naturelle qui émane des patriarches, les dernières générations se révèlent friables et le brillant halo de prestige qui entourait jadis ce nom n'est plus qu'une lueur vacillante, foulée au pied par une jeunesse moderne, préférant aux sacrifices et aux complots le vent de la liberté. De loin, les Fitzgerald brille plus fort car chez eux, il faut paraître, paraître à tout prix, et c'est un travers au sein duquel les enfants d'aujourd'hui refusent de s'enliser tout à fait. Cette famille parfaite, elle agace autant qu'elle force l'admiration, ils sont sans aspérités, lisses à en crever, ils brillent si fort qu'ils en éblouissent les voisins complexés par leurs cookies mieux faits, leur pelouse mieux entretenue, et leurs toilettes si jolies. Mais il y a aussi le poids du secret qui règne en maître derrière les portes closes, ainsi que le spectre des névroses... En revanche, en dépit des rivalités et des zones d'ombres qui obscurcissent nombre de relations, les Fitzgerald se révèlent unis dans les épreuves et sont d'une loyauté sans faille les uns envers les autres. La famille est essentielle à leurs yeux et rien, absolument rien ne doit l'outrepasser. C'est la seule règle immuable, à laquelle personne ne déroge : ensemble, on est plus fort.
Minnie, Fitzgerald 26-27-28 ANS AU CHOIX, STATUT CIVIL AU CHOIX, DIPLOMEE EN DROIT PENAL, GENIE DE L'INFORMATIQUE. Minnie est ce que la nouvelle génération des Fitzgerald a produit de mieux : talentueuse mais humble, cool mais sensée, sociable et tolérante sans mépris ni condescendance, elle fait la fierté de son père, William, dont elle est la chouchou absolue, ce qui n'était pourtant pas gagné d'avance. En effet, Minnie n'est pas sa fille, ce qu'elle n'a appris que récemment. Fruit d'un retour de flammes entre Alice Fitzgerald et son amour de jeunesse, elle a été élevée avec rigueur mais plus librement que son grand frère et sa petite soeur, Jude. De fait, Minnie est une jeune femme équilibrée qui est le ciment de la famille. Diplômée en droit pénal pour conseiller les affaires juridiques de son illustre famille, là n'est pas sa réelle vocation, malgré le travail de qualité qu'elle produit. Minnie est indéniablement brillante et c'est en informatique que ses talents s'illustrent le mieux. (Plus ou moins) affectueusement qualifiée de gek depuis l'enfance, sans que jamais cela n'affecte son enthousiasme social ou ses excellents résultats scolaires, elle développe une passion dévorante pour l'informatique et croule sous les gadgets dans son appartement du centre ville : ordinateurs surpuissants à écrans multiples, drones, casques de réalité virtuelles, consoles de jeux et autres gadgets high-tech, surtout les robots mignons. D'ailleurs, elle s'est déjà infiltrée dans les systèmes d'opposants politiques de son père pour lui offrir un avantage crucial lors de débats houleux ou de négociations délicates mais aussi dans ceux de certaines fac pour suivre de loin les progrès de la fratrie. Si ses activités sont jalousement gardées secrètes, elle est bien connue des programmeurs pour avoir inventé, alors encore étudiante, une application sociale révolutionnaire qui l'a rendue millionnaire, presque milliardaire une fois rachetée par le géant Facebook. Un succès qu'elle tait, qui ne lui est jamais monté à la tête mais lui a permis de se détacher (financièrement, du moins) des Fitzgerald. Bien dans sa peau et droite dans ses bottes, Minnie est une fille vive et désintéressée, prolifique et équilibrée dont l'aplomb et l'originalité tranchent avec les gamines de riches qu'elle a toujours côtoyées. Très engagée, sportive et garante du mouvement slow living, Minnie est une anti-conformiste qui ne fait rien comme les autres, mais les fascine sans même essayer. Attirée par les femmes et seulement par les femmes depuis toujours, elle a été le premier soutien de son républicain de père dans la course électorale et l'un des atouts charme de sa campagne pour prôner un vent de modernité bien loin des branches les plus austères du parti. Ebranlée par la découverte du secret entourant sa naissance il y a de cela un an, Minnie jouit d'une relation conflictuelle avec sa mère qui lui a caché la vérité et perd en spontanéité avec William, qui, pourtant, savait. proposition d'avatars : très libre, l'essentiel étant de trouver un avatar pile poil dans la tranche d'âge (pas plus de 4 ans d'écart entre l'âge irl de l'avatar et celui du personnage par pitié ) pour le reste, elle peut ressembler au reste de la fratrie, plutôt blonds/châtains ou au contraire, être très brune ou rousse et donc ne pas ressembler à une Fitzgerald. L'essentiel c'est que vous choisissiez un avatar qui vous plaise et vous inspire pour les liens avec la fratrie, c'est à voir directement par mp mais en deux mots il y a Bren, l'aîné, le golden boy (30 ans), Jude, la petite fille modèle (24 ans) sur qui a reposé toutes les attentes et la pression que n'a pas eu Minnie et les jumeaux, électrons libres (22 ans). alors viens donc compléter notre petite fratrie, un rp verra le jour très bientôt et on est bien, bien bien bien ps: si tu veux en savoir plus sur les fitz, papa fitz et papy fitz sont déjà rédigés, ci-après, juste pour toi - les pnj fitz:
Henry, Fitzgerald 78 ANS, VEUF, RETRAITE, PATRIARCHE. Henry Fitzgerald, le patriarche est de ces hommes intimidants, au regard perçant et à la mine singulière éternellement coincée entre gravité et une forme de mépris doucereux. Aujourd'hui âgé de 78 ans, il vit dans une demeure somptueuse, seul depuis le décès de son épouse bien-aimée (la seule à profiter de son maigre capital sympathie), la douce Rose, une femme au coeur d'or, qui a toujours comblé d'amour et de tendresse ses petits-enfants, jusqu'à son décès il y a cinq ans. Malgré son âge, Henry n'a rien perdu de sa verve lapidaire et de ses allures de prédateur en chasse. Brillant, solide comme un roc et d'une ambition démesurée, il est celui grâce à qui les Fitzgerald atteignirent un nouveau sommet dans l'opulence avec la vente de General Motors dans les années 80, bien avant le déclin du secteur. Vétéran, républicain et autoritaire, Henry ne croit aux rapports sociaux que lorsqu'ils sont dominés par la force et son intuition ne lui fait jamais faillite : calculateur, brillant, dominant, il a beaucoup d'amis à Whitehall ... et tout autant d'ennemis, ne craignant ni les hostilités et encore moins de flirter avec les limites de la légalité pour le bien de son empire. Intraitable, doté d'une sensibilité raréfiée, il n'est pas très porté sur la famille qu'il considère comme autant d'atouts dans un jeu de cartes. C'est tout, sauf lorsqu'il s'agit de son fils William, qui a largement dépassé ses attentes. Aussi, il n'a pas hésité à monter ses fils l'un contre l'autre pour en tirer le meilleur tout comme il n'hésite pas à se retrancher loin de la nouvelle génération brouillonne, dont la plupart restent sourds à son influence. On dit d'Henry que c'est un grand homme et comme tous ceux qui prétendent l'être, il se montre solitaire et revêche. Depuis huit mois maintenant, il cache à tout le monde sa leucémie, refusant de périr dans un lit d'hôpital, comme un moins que rien. Lui préfère souffrir et rester debout, jusqu'à la fin. Nul doute que sa perte prochaine affectera le clan Fitzgerald, déjà bien friable... William, Fitzgerald 55 ANS, MARIE, GOUVERNEUR DU MAINE. Cadet des Fitzgerald et de bonne composition, William a été façonné malgré lui par la rivalité qu'alimentait son frère aîné Charles, jaloux de ses facilités. Car c'est la grande force de William, outre son caractère affable et son aisance à se faire apprécier du plus grand monde : tout lui réussit et c'est aussi ce don qui le mènera à sa perte. Lui qui n'a ni grande ambition ni quelconque passion découvre qu'il peut exceller en tout, en un temps limité, ce qui causera à chaque fois à son frère Charles des accès de rage mal contenus. Vif et brillant, encouragé par son père Henry en adoration devant ce rejeton qui n'a hérité que de ses qualités, sans ses défauts, William prendra part sans le vouloir à une compétition exacerbée qui, si elle ne le stimulera pas tellement, affectera le caractère déjà taciturne de son frère aîné. D'une jeunesse indolente, insouciante et charismatique, William se découvre des qualités de leader et partout où il passe, il est populaire, entouré d'adolescents qui l'admirent et de jeunes filles qui rougissent à son passage. Porté par une vie facile, galvanisé par l'aura de familles prestigieuse dans une petite ville (lui et Richard Maddox, son plus vieil ami, dominent la caste du lycée), Will oublie ses propres aspirations et se fond dans celles de son père, qui rêve pour lui de politique, bien que son frère souhaite également embrasser la même carrière. Eloquent, pertinent, concerné, William entre très tôt au parti républicain, parallèlement à ses études de sciences politiques. Mais plus il avance dans sa vie bien rangée, plus les défauts propres aux hommes dominants de la famille, génération après génération, le rattrapent : d'affable il devient calculateur, de tolérant il devient clivant, et s'il reste magnétique, il est aussi tyrannique. Car William a été façonné, forcé à entrer dans le moule d'une vie qui ne lui correspondait pas jusqu'à altérer définitivement sa personnalité. Et aujourd'hui, il reproduit, mécaniquement, le même schéma nauséabond avec ses propres enfants, qui devraient se conforter à ce que doit être un Fitzgerald, avant de choisir une aspiration. Rigide et méthodique, froid et peu enclin aux grandes démonstrations d'affection qui lui échappent totalement, William n'a pourtant rien perdu de l'aura singulière de golden boy qui l'a toujours nimbé : très courtisé en public, il est de ceux qui imposent le respect et que l'on écoute sans sourciller. Aussi, il a évidemment été élu maire de Whitewall, par deux fois, avant de se faire trahir par son plus vieil ami, Richard Maddox, et briguer le poste de gouverneur du Maine, qu'il occupe aujourd'hui depuis cinq ans, entamant un second mandat. Alice, Fitzgerald 52 ANS GESTIONNAIRE DU PATRIMOINE DES FITZ. en construction.
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