Jane Hastings Venue en ville : 25/03/2017 Posts : 147 Celeb + © : bridget satterlee ; beerus Points : 134
| ce message a été posté le Sam 25 Mar - 18:04 |
| jane pandora hastings parler est un acte aussi créateur que destructeur prénom(s), nom : ta grand-mère maternelle s'appelait Jane. et ta mère a toujours été très proche de sa mère. toi, ta grand-mère, tu ne l'as jamais connu. elle est décédée quelques mois avant ta naissance. ta mère a apprit que ta grand-mère avait le cancer du sein alors qu'elle venait d'atteindre ses quatre mois de grossesse, et à l'aube de son septième mois, elle rejoignait les cieux. alors, ta mère a promit à cette dernière le jour de son enterrement, qu'en son hommage, tu porterais son prénom. Jane Pandora Hastings, voilà comment tu t'appelles. Pandora, c'est parce que c'est comme ça que tes parents auraient voulu t'appeler avant que ta grand-mère ne vous quitte. surnom Jane, c'est bien assez court sans qu'on se prenne la tête a te trouver un surnom. âge : il y a un an, tu as atteint la majorité absolue, celle qui te permets d'acheter de l'alcool dans les magasins sans que l'on te prenne la tête, ou qui te laisse entrer au casino en espérant gagner le jackpot. vous êtes nuls en calcul c'est ça ? 21 + 1 = 22. et oui, 22 ans pour la demoiselle.date et lieu de naissance : le quatre juillet mille neuf cent quatre vingt quinze à whitehall. d'ailleurs, quand t'étais petite, t'étais persuadée que le feu d'artifice du quatre juillet était pour toi. à chaque fois tu te retrouvais perchée sur le balcon de la villa à regarder le spectacle pyrotechnique illuminer la ville. nationalité : toi, t'es une ricaine pure souche, et fière de l'être. origines : papa, c'est un portugais. maman elle, c'est une américaine pure souche. mais tes origines portugaises, tu les assumes, parce que t'en es fière également, puis t'aime ce pays, t'aimes t'y rendre pour y retrouver ta famille paternelle. à whitehall depuis : toujours bien évidemment, tu as poussé tes premiers cris ici, tu as fais tes premiers pas dans cette ville, tu as grandi ici, et tu ne comptes pas quitter cette ville. tu as tout vécu ici. tu as tout ici, ta famille, tes amis, et Marin. ah, Marin. occupation : vendeuse dans un magasin de prêt à porter pour hommes. des petits boulots tu en as fais, et pas des moindres, t'es passée par un peu tout. mais t'es curieuse, et intéressée, pour toi, il n'y a pas de sous métiers. et puis, tant que de l'argent rentre en fin de mois, c'est ça le plus important. statut financier : t'es loin d'être une multimilliardaire, mais t'es pas non plus pauvre au point de manquer de nourriture en fin de mois. non, toi, t'as un statut financier plutôt agréable. de quoi subvenir à tes besoins, et te faire plaisir lorsque tu le décides. statut civil : amoureuse. désespérément amoureuse d'un homme un peu trop violent et colérique. mais tu l'aimes, c'est plus fort que toi. cette relation elle est pas saine. Marin, il ressemble en rien à l'homme parfait. c'est un petit con, il te fait autant de mal qu'il te fait du bien. parfois même, il te fait peur, avec sa violence, mais malgré ça, tu l'aimes, t'es incapable de le laisser, t'es accro, dépendante, tu pensais pas que c'était possible d'aimer autant. orientation sexuelle : toi, t'as tout testé. t'es curieuse c'est bien connu. alors, les hommes comme les femmes y sont passés. mais tu restes quand même sacrément hétérosexuelle. les hommes, c'est ton pêchés mignons. et même si comme toutes les filles, tu rêves du mec parfait, t'as toujours eu ce penchant pour les mauvais garçons. tiens, il suffit de regarder Marin pour comprendre. caractère : t'es à la fois le calme et la tempête. t'es douce. mais t'es aussi directe, quand quelque chose ne te conviens pas, tu n'hésites pas à le faire savoir. tu mâches pas tes mots, et t'assumes tout. tu te caches pas derrière des "oui mais". non, ce que tu dis, tu l'assumes, que ça plaise ou non, que ça blesse ou non. toi, t'es le genre de fille sûre d'elle, et déterminée, prête à tout pour obtenir ce que tu veux. tu sais user de tes charmes pour venir à bout de ce que tu veux, il suffirait d'un battement de cil pour faire tomber ton interlocuteur. tu sais y faire, et parfois, t'en abuses. mais t'es comme ça. avec toi, c'est à prendre ou à laisser. on t'accepte tel que tu es, ou bien on s'casse. toi t'es pas le genre de filles à retenir les gens. si tu leur conviens pas, soit. mais tu ne feras rien pour les garder dans ta vie. toi, t'as toujours appris à compter que sur toi avant de compter sur les autres. dans la vie, c'est chacun pour sa gueule. tu le sais, c'est bien pour ça que tu ne comptes pas sur les autres. t'es plutôt indépendante comme nana. enfin, sauf quand il s'agit de ton mec. là, t'es totalement dépendante, mais ça c'est un autre cas de figure. quoi qu'il en soit, t'es à la fois le ying et le yang. l'eau et le feu. le lion et la gazelle. le chat et la souris. groupe : faithfull. avatar : bridget satterlee. crédit : alaska & tumblr. all little things about me toi, tu es la douceur incarnée, t'es un véritable petit rayon de soleil, toujours le sourire perché aux lèvres, toujours avec cette incontestable joie de vivre l'école, ça n'a jamais été ton fort, oh tu faisais partie des meilleurs élèves de la classe, seulement voilà, rester assise sur une chaise derrière un bureau pendant toute la journée, c'était loin d'être quelque chose que tu affectionnes. toi t'as plutôt besoin de bouger, tout le temps ton grand frère et tes soeurs, tu les aimes même si parfois ils te saoulent, t'es quand même sacrément proche d'eux, et s'ils ont besoin de toi, ils savent qu'ils peuvent compter sur toi des amis toi, t'en as pas des masses, mais t'as rapidement pu comprendre que l'essentiel ce n'était pas la quantité, mais la qualité. alors t'as fais le tri le quatre juillet, fête nationale des Etats-Unis, les feux d'artifices, toi, t'as toujours cru que c'était pour toi. quand t'étais petite, t'étais émerveillée à chaque spectacle pyrotechnique. au début, tes parents te laissaient croire que c'était pour toi, puis quand tu as eu l'âge de comprendre, ils t'ont expliqué la vérité sur ce feu d'artifice, une déception pour toi tu te rappelles la fois en plein été où vous êtes partis faire du vélo avec ton frère et tes soeurs, le jour où tu as découvert le ... frein avant ? ah c'était drôle de se servir du frein avant, et de sentir la roue arrière se lever. mais le plus drôle, c'est quand tu as pris de la vitesse, et que tu as appuyé d'un coup sec sur ce frein, et que la roue avant c'est arrêtée nette, et que la roue arrière s'est levée d'un coup te faisant basculer, et tomber la tête la première sur... l'herbe. fort heureusement. mais tu te rappelles qu'avec tes conneries t'as fini le bras plâtré ? et quand t'y repenses, ça te fais rire plus jeune, t'étais une véritable casse-cou. grimper aux arbres ne te faisais pas peur. t'aimais bien suivre ton grand frère dans ses aventures nocturnes. même s'il n'était pas toujours pour que tu le suives, tu le faisais quand même sous prétexte de dire à tes parents qu'il avait fit le mur. t'étais une petite maline en fait toi, t'as toujours su quoi faire pour venir à tes fins. il faut dire que tu as du bagou et ça, ça aide pas mal toi, tu sais tout faire de tes dix doigts, tu sais jouer d'un instrument, tu sais dessiner, regonfler tes pneus de vélos, manier un tourne vis, plus jeune t'étais un véritable petit mec, dans le sens où on pouvait te faire faire n'importe quoi. c'est ça d'avoir un grand frère plus jeune, tu voulais suivre les traces de ton père, et travaillais dans les hôpitaux, mais quand ta mère est tombée malade, tu as réalisé que tu n'en étais pas capable tu as mal supporté la maladie de ta mère, pendant cette période, tu t'es éloignée du domicile familial, moins tu étais à la maison, mieux tu te portais faire attention à ta ligne, faire du sport, c'est important pour toi, hors de question de te laisser aller. ton alimentation est équilibrée. t'es pas une grande fan des fastfood, et autre en tout genre y'a quelques mois de ça, t'as rencontré Marin, sur ton lieu de travail. un véritable coup de foudre. et il ne vous a pas fallu bien longtemps avant de vivre ensembles. ça fait désormais deux et bientôt trois mois que tu vis avec lui d'ailleurs, ça a été un coup pour tes parents, t'es la première a avoir prit ton envol, alors que ton grand frère de 25 ans vit toujours chez tes parents, toi, tu vis déjà avec ton copain depuis quelques temps maintenant, tu travailles en tant que vendeuse dans un magasin de prêt à porter pour homme, une grande marque de vêtement connue. et tu t'y plais. ton but, ça serait de devenir responsable, c'est pourquoi tu te rends vachement disponible quand y'a besoin. pour montrer ton investissement et ton envie pour ton poste actuel toi, t'es un peu comme une gosse, quand tu vois un animal dans la rue, t'es émerveillée, t'es un peu la Brigitte Bardot des temps modernes, bon, pas sûr que Marin apprécie que tu lui ramènes tous les animaux que tu trouves dans la ville, mais tu fais toujours ta bonne action en les amenant chez le vétérinaire ou bien dans le refuge le plus proche afin qu'ils retrouvent leur maître ce que t'aimes l'été, c'est aller passer tes journées à l'océan pour surfer tu adores le solel, tu pourrais passer des heures et des heures à prendre du bon temps sous ses rayons éclatants bien qu'on te qualifie souvent de fille douce, derrière ce visage d'ange se cache une fille au caractère bien trempé. te laissais faire, très peu pour toi. y'a qu'avec Marin que t'as apprit à te taire un peu, et encore, ce n'est que très rarement que tu te la fermes, très souvent, il t'arrives d'en rajouter, et d'envenimer les choses, mais ça, c'est tout toi avant Marin, t'étais jamais tombée amoureuse toi, tu savais pas ce que c'était. très souvent, tu te fichais de tes amis qui l'était. tu ne comprenais pas comment on pouvait autant être niais et dépendant de quelqu'un. mais quand t'as rencontré Marin, l'amour a prit tout son sens t'as toujours été attirée par les mecs mauvais, les petits badboys, les sales cons. toi t'aimes pas les mecs bien, les mecs calmes, les mecs qui te disent oui à tout. t'as besoin de quelqu'un avec du caractère, qui sache te remettre à ta place. qui n'écoute pas tout ce que tu dis. pourtant, ton père c'est un amour, l'homme parfait, tu aurais très bien pu vouloir quelqu'un à l'image de ton père, mais non, toi tu voulais le vilain garçon, et tu l'as eu en toute bonne fille qui se respecte, tu ne sors jamais sans ton sac à main dans lequel on y trouvera ton téléphone portable, ça c'est la base, mais également ta trousse à maquillage, avec ton rouge à lèvres préféré t'es une accro au thé et au cappuccino. pas une journée passe sans que tu en ais bu did you read my story T'es pas née avec une cuillère en or dans la bouche, mais c'est tout comme. Tes parents sont connus, notamment ton père, qui est un grand chirurgien. Ta mère elle, c'est l'adjointe du directeur de l'université de Whitehall. Autant dire que la situation familiale est plus qu'agréable. Le manque, tu n'as jamais connu ça toi. On pourrait même dire que tu as toujours eu tout ce que tu voulais. Une chance que ça n'ait pas fait de toi une petite capricieuse. Heureusement pour tes parents. Surtout quand on sait que vous êtes quatre. Et oui, tu n'es pas la seule de la famille. T'imagines si ils avaient fait de vous quatre petits capricieux. Grand dieu, ils ne s'en seraient pas sortis. Au contraire, votre éducation est irréprochable. Ils vous ont élevé avec la plus grande douceur. Il n'y avait jamais un mot plus haut que l'autre. Même quand il était parfois nécessaire d'hausser le ton, ils ne le faisaient pas. Pour la simple et bonne raison qu'ils ne voyaient pas l'utilité de vous disputer avec un ton beaucoup plus froid et beaucoup plus sec. La preuve, la douceur a fait ce que vous êtes aujourd'hui. Cependant, contrairement à tes frères et soeurs, tu t'es toujours démarquée d'eux. Alors oui, tu étais la petite fille parfaite aux yeux de ta famille, intelligente, douce et bourré de talents, mais tu es sans doute la seule qui n'a jamais eu peur de dire haut et fort ce que tes parents n'auraient pas voulu entendre, et ce que ta fratrie n'aurait pas osé dire. Toi, tu es le genre de fille qui mâche pas ses mots. Franche. Mais, malgré ça, tes parents n'ont jamais mal prit ce que tu as pu leur dire. Peut-être que finalement ils appréciaient ton honnêteté, même si parfois ça les poussaient à réfléchir. Quoi qu'il en soit, toute ton enfance a été un véritable conte de fée. Une famille aimante. Heureuse. Des hauts et des bas avec tes frères et soeurs, mais bon, qui ne connait pas les disputes fraternelles. Les crêpages de chignons, les courses poursuite dans toute la villa. Les "je te déteste" ou encore "je suis sûr que t'es pas mon frère et que t'as été adopté". Ca c'est le genre de chose qui fusait dans la maison, et qui avait même tendance à faire rire vos parents tant c'était la base des disputes entre frères et soeurs. Mais malgré tout, tu les aimes, tu les aimes si fort, et tu serais prête à toute pour eux. Même si parfois, t'as qu'une seule envie, celle d'étrangler ton frère, ou encore d'enfermer ta petite soeur hors de la maison, parce qu'elle t'agace à camper dans ta chambre et à essayer de regarder ce que tu fais par dessus ton épaule. Malgré tout, tu restes très proche d'eux. Il y a ses moments d’accalmie où vous regardez un film, dans le salon, les uns collés aux autres. Ou encore vos petites balades dans Whitehall, en vélo. Ta famille, c'est un peu la famille parfaite, celle que tout le monde rêverait d'avoir. Mais c'est la tienne et pour rien au monde tu changerais un membre de cette dernière. Parce que c'est ce sang qui coule dans tes veines. Ces valeurs et ces principes qui t'ont été transmis. Seulement voilà, il y a toujours un mais. La roue finit toujours par tourner malheureusement, et ce n'est pas en votre faveur qu'elle a tourné. Alors que tu étais âgée de presque seize ans, une bien triste nouvelle vint brusquer votre charmant quotidien. Un nuage sombre s'est alors installé juste au dessus de votre maison. Ta mère faisait malaise sur malaise. Au début, on pensait à du surmenage. Mais après bien des examens, on lui découvrit un cancer au sein. Comme ta grand-mère. C'est ce dont elle était décédée. Elle a alors commencé un traitement. Et pas des moindres. Elle était faible, c'était tellement douloureux de la voir si mal, si pâle, si mince. Elle qui était toujours active, qui ne savait pas rester en place plus de cinq minutes. Ainsi, tu avais de plus en plus de mal à rentrer chez toi après les cours. Alors, tu as d'abord cherché un petit boulot, tu t'es retrouvée à être serveuse dans un petit café, et le soir, il t'arrivait de faire des heures sup', parce que toi, tant que t'étais loin de chez toi, t'étais mieux. Tu ne supportais plus cette ambiance chez toi. Tu t'es un peu éloignée de tout. Parce que c'était bien trop dur pour toi. Les infirmières faisaient des allés-retours chez toi, pour s'occuper de ta mère qui ne voulait pas aller séjourner à l'hôpital. Elle était catégorique. Et on pouvait la comprendre, surtout quand on sait que des années auparavant, elle a vécu la même chose pour sa mère. Les vas-et-vient à l'hôpital, elle connait ça ta mère. Ca lui rappelle bien trop de mauvaises choses. Mais ta mère, c'est une battante malgré tout. Alors ce combat a duré plus de deux ans. Avec des hauts et des bas. Elle a failli y passer, à deux reprises. Mais sa détermination à s'en sortir était bien plus forte que tout. En réalité, cette force qu'elle avait, c'était de vous qu'elle la puisait. Vous étiez sa force. Cette envie de s'en sortir. De se battre et de lutter contre cette maladie qui a emporté ta grand-mère. Et elle a réussi. Après une lutte acharnée, elle s'en est sortie. Toi-même, tu n'y croyais pas. Non pas que tu ne crois pas en ta mère, mais plutôt en cette maladie qui a jadis emporté un être cher. Mais ta mère elle est forte. C'est la meilleure de toutes. Alors, tu t'es excusée auprès d'elle. Pour ton absence durant sa maladie. Mais comment voulais-tu qu'elle t'en veuilles ? Elle était enfin guérie, elle savait que désormais, elle allait pouvoir reprendre son travail, mais surtout reprendre sa vie auprès de vous, auprès de son époux aimant, et de ses enfants. Toi, ces deux années t'ont changé, t'ont transformé. Ca t'as rendu plus indépendante. Ca t'as fais faire des choses que tu n'aurais pas imaginé faire auparavant. T'as commencé par bosser dans un café, puis t'as fini en tant que serveuses pendant presque six mois. Et là, tu as fais des rencontres qui t'ont changé, et transformé. Mais tu es fière de ce que tu es devenue aujourd'hui. Tu es devenue une femme plus forte, plus indépendante, plus sûre de toi. Tu as testé des choses durant ces deux années. Tu as un peu pris le mauvais chemin, mais c'était comme un échappatoire pour toi. Tant que tu étais au travail ou dans les rues de Whitehall, tu n'étais pas chez toi, à te morfondre sur l'état de santé de ta mère. Des conneries, tu en as fais. Mais quand ta mère s'en est sortie. Tu es revenue sur le droit chemin. Tu as repris les études, que tu avais arrêté. Dans le commerce. Parce que travailler dans la vente, ça te plaisais bien. T'as toujours aimé la mode. Les fringues, c'est ta petite passion. Tu aurais aimé être styliste, parce que le dessin ça te connais ça. Mais t'as toujours aimé ce contact avec les gens. Alors vendeuse de vêtements, c'était quelque chose qui t'attirais. T'as fais des stages, et ça t'as plu. Pendant les vacances, tu faisais des petits boulots à droite à gauche. Et t'enchaînais plusieurs boulot. T'as fais beaucoup de choses toi. T'as été serveuse, vendeuse, t'as gardé des enfants, t'as fais animatrices dans des centres aérés. En fait, t'es un peu comme ta mère toi. Comme on dit, les chiens ne font pas des chats, et si tes frangins sont plutôt études à deux cent pour cent. Toi, t'es plutôt une fille active, qui a besoin de bouger, de faire des choses, d'avoir ce contact avec les gens. T'as même gardé des animaux, tu les sortais et les baladais dans la ville quand c'était nécessaire. T'as même bossé chez une fleuriste. Enfin, des choses tu en as fais, et grâce à ton franc parler, tu as souvent été appréciée par tes patrons, surtout dans la vente. Tu savais trouver les mots pour faire vendre même un bout de tissu insignifiant. Tu étais faite pour ça. A la fin de tes études, tu t'es retrouvée à bosser dans un petit bar, parce que ça te manquais cette ambiance. T'aimes bien toi, te retrouver derrière un comptoir, à jongler avec les bouteilles et les shakers. Créer de nouveaux cocktails. Servir les gens. Ecouter de la musique jusqu'au bout de la nuit. Mais ce soir-là. Tout a changé. Tu ne pensais pas que c'était possible. Ce regard. Tu t'en rappelles encore. Comme si c'était hier. Quand ton regard a croisé le sien, c'est comme si tu ne dépendais plus que de lui. C'est comme si en un regard, il avait fait de toi sienne. Et sa voix, sa démarche, sa douceur. Ah il était doux Marin. Il savait comment s'y prendre avec les filles. Et avec toi, particulièrement. T'y as cru à ses belles paroles. Le mec parfait tu dis ? C'est ce que tu pensais oui. Tu n'aurais jamais imaginé qu'il puisse devenir l'homme qui l'est devenu. Une véritable brute. Dotée d'une violence inexplicable. Ces mots étaient aussi cinglant que ses coups contre les murs. Tu y as cru plusieurs fois. Dans son regard, tu voyais toute cette colère. Cette mâchoire qui se crispait, et ces poings qui se serraient. Tu pensais vraiment y passer. Mais à chaque fois, c'est le mur qui prenait. Comme si malgré sa colère, il était incapable de te toucher. Et heureusement pour toi. Surtout quand on sait la force qu'il a Marin. Mais ce mec là. C'est pas le premier mec que tu as eu. Mais c'est le premier mec dont t'es tombée amoureuse. Tu savais pas ce que c'était avant d'être amoureuse. Avant, c'était toi qui menais les mecs à la baguette. Qui en faisais ce que tu en voulais. Qui leur faisais du mal. Qui les plaquais. Mais là, c'est différent. Là, c'est toi qui dépend de lui. Marin, c'est ta drogue. C'est ce poison qui coule dans tes veines et qui va jusqu'à ton coeur. A l'intérieur c'est un feu d'artifice de sentiments. Chaque cicatrice sur ton coeur est signée Marin. C'est douloureux. Ca fait mal de le voir comme ça. Quand il s'énerve. T'as envie de le calmer, mais tu sais pertinemment que si tu t'approches c'est pire. Mais tu le fais quand même. Et même s'il te repousse, toi, tu restes. Parfois, t'as vraiment peur. Il te fait peur. Mais tu l'aimes, et c'est plus fort que toi. Tu le menaces parfois de le quitter. Parce que t'en peux plus. Mais... T'es même pas capable de le faire. Ce mec, c'est une drogue. T'en as besoin. Ce que t'aimes le plus, c'est quand il te prend dans ses bras, et que t'enfouis ta tête dans son cou, pour humer son odeur. Ah Marin, c'est la violence et la douceur à la fois. Et Marin, tu le changerais pour rien au monde. Parce que si tu le changeais, ça serait plus Marin. Alors, tu l'acceptes comme il est. Même si parfois, t'as envie de tout claquer. Bah tu le feras pas. Parce que c'est comme ça. Parce que c'est toi, parce que c'est lui, parce que c'est vous. Parce que c'est passionnel. Dans le fond. T'es un peu folle. Un peu beaucoup trop folle. Et par moment, t'arrives à lui tenir tête, parce que ça t'énerves de le voir comme ça, si colérique, pour un oui ou pour un non, et ça l'énerve encore plus, et toi, tu le trouves encore plus beau. Alors tu t'approches de lui, et tu l'embrasses, sauvagement, pour le calmer. Parfois, il te repousse, et parfois, ça fini sous les draps. Marin, il est beau, quand il est en colère, mais aussi quand il sourit, quand il dort, quand il vit. Marin, c'est la plus belle chose qui te sois arrivé. C'est à la fois un ange et un démon. Il peut être aussi doux qu'il peut être con. Mais c'est ton Marin.
| prénom : marine. pseudo : lisztomania. âge : bientôt le quart de siècle disponibilité : 4/7 je dirais, mais bon, je passerais quasiment tous les jours. où as-tu connu le forum : on dit merci bazzart. implication à l'intrigue : étant donné que Jane a toujours vécu ici, je suis plus qu'intéressée à ce qu'elle puisse faire partie des futures intrigues. elle aurait pu être une amie de Elizabeth, ou avoir un quelconque lien. je trouverais cela amusant. un dernier commentaire : j'veux rp . |
Dernière édition par Jane Hastings le Mer 29 Mar - 8:39, édité 10 fois |
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